Vicktor Frankl, neuropsy, fondateur logothérapie, à survécu à la torture des camps de concentration, il l’a expliqué dans la plupart de ses livres,

 

« une expérience traumatique est toujours négative, cela étant, ce qui arrive à partir d’elle dépend de chacunE. Il dépend de nous de nous élever à nouveau, de couvrir la vie de nos cendres dans un triomphe sans égal ou au contraire de nous contenter de végéter, de nous détruire. »

 

« Quand on traverse un moment traumatique, nous mourrons tous-tes un peu, nous laissons aller une part de nous même qui ne reviendra jamais, qui ne sera plus jamais pareille. »

 

Carl Jung, philosophe établit notre similitude avec le phénix, car  » cette créature fantastique meurt elle aussi. elle favorise les conditions nécessaires pour mouroir car elle sait que de ses propres restes émergera une version d’elle même bien plus puissante. »

 

 

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